• Accès au One Young World Summit 2019 à Londres, au Royaume-Uni.
  
• Hébergement en hôtel partagé entre le 22 et le 25 octobre 2019.
  
• Restauration qui comprend le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner.
  
• Transport entre l'hébergement au sommet et le lieu du sommet.
  
• Sommaires et matériel d’appui du Sommet.
  
• Le coût du voyage vers et depuis Londres. Votre vol à destination et au départ de Londres doit partir et revenir à un seul et même aéroport international.
  

• Avoir entre 18 et 30 ans
  
• Avoir un engagement manifeste à apporter des changements positifs
  
• Démontrer sa capacité de leadership
  
• Abordent des problèmes locaux et / ou mondiaux clés dans votre travail
  
• Avoir une expérience en matière de génération d’idées percutantes et novatrices
  
• êtes ressortissant (citoyen détenteur d'un passeport) de l'un des pays énumérés dans le lien.
  
• Soumettre votre demande en Anglais ( Aucune application dans une autre langue sera considéré)
  

• Africa Innovation Fellowship (AIF) commence par une semaine de formation en personne à Kampala, en Ouganda, du 2 au 5 juin 2019, axée sur l'incubation d'idées et d'entreprises, le développement du leadership, la mise en réseau et la préparation au pitch.

• La bourse débutera par un camp de formation d'une semaine à Kampala, en Ouganda, suivi de neuf mois de mentorat et de coaching virtuels personnalisés. L'idée gagnante recevra un voyage entièrement financé à Londres pour assister au sommet sur les défis mondiaux en septembre 2019.
• Le prix de l’idée gagnante consistera en un voyage, toutes dépenses payées à Londres pour participer au Sommet mondial des grands défis, en septembre 2019.

• Les candidats doivent être des femmes ou de petits groupes avec un candidat principal.
• Les candidats individuels doivent être citoyens d'un pays de l'Afrique subsaharienne. Pour les équipes de deux personnes ou plus, le candidat principal doit être citoyen d'un pays de l'Afrique subsaharienne.
• L'innovation doit être basée dans un pays d'Afrique subsaharienne.
• Les candidats doivent avoir une innovation en matière d'ingénierie, bien qu'ils ne soient pas obligés d'être diplômés en ingénierie ou étudiants.
• Les chercheurs industriels et les établissements ne sont pas éligibles.
• Le demandeur principal doit être âgé de plus de 18 ans. Il n'y a pas de limite d'âge supérieure.
• L'innovation du demandeur peut concerner tout nouveau produit, technologie ou service, basé sur une recherche en ingénierie définie dans son sens le plus large, englobant un large éventail de domaines, notamment: technologie agricole, biotechnologie, génie chimique, génie civil, informatique, ingénierie de conception, génie électrique et électronique, TIC, science des matériaux, génie mécanique et génie médical. Si vous avez le moindre doute sur le fait que votre domaine d’expertise soit considéré comme l’ingénierie, veuillez contacter aif@womeng.org.
• Les candidats doivent avoir une phase initiale d’innovation et/ou d’ingénierie d’ingénierie qui:
  • Apportera des avantages sociaux et/ou environnementaux à un pays d'Afrique subsaharienne, accompagné d'un plan d'affaires ambitieux mais réaliste qui est presque prêt ou dont la viabilité commerciale a été testée.
  • Possède un fort potentiel de réplication et de reproduction à plus grande échelle.
      
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• Les candidats retenus doivent être disponibles pour se rendre en Ouganda du 1er au 6 juin 2019, dans le cadre de la semaine de formation du programme Fellowship.
• Les candidats retenus doivent pouvoir consacrer au moins deux à cinq heures par mois de juin 2019 à mars 2020 pour un soutien en ligne / virtuel.
• Pour les équipes candidates, seul le candidat principal sera invité à assister à la semaine de formation des boursiers.
• Seuls les candidats retenus seront informés en Mai.
  
  
  Date a retenir:
  • Ouverture des candidatures: 01 mars 2019 
  • Date de clôture des candidatures: 01 avril 2019 
  • Candidats reçus notifiés: 15 mai 2019 
  • Semaine de la bourse en Ouganda: du 2 au 5 juin 2019 
  • Soutien en ligne et mentorat: juin - août 2019 
  • Date limite de soumission: 31 août 2019 
  • Mentorat en ligne: septembre 2019 - mars 2020

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• Arrêtez de faire des heures supplémentaires et augmentez votre productivité à la place  
  
  «Si un horaire de travail de 60 heures ou plus par semaine est prolongé plus de deux mois environ, l’effet cumulatif de la baisse de productivité retardera la date d'achèvement au-delà de celle qui aurait pu être réalisée avec la même taille heure par semaine.
  "Source: Calcul de la perte de productivité due aux heures supplémentaires à l'aide de graphiques publiés - Fait ou fiction
  

• Ne dites pas «oui» trop souvent

• Arrêtez de tout faire vous-même et commencez à laisser les gens vous aider
  

• Cesser d'être perfectionniste
  

• Il passe plus de temps que nécessaire sur une tâche.
  

• Il attend le moment parfait pour agir (ce qui ne marche pas toujours en business)
  
• Il manque la grande image tout en se concentrant trop sur les petites choses
  

• Arrêtez de faire des tâches répétitives et commencez à automatiser.
  

• Arrêtez de travailler et prenez le temps de ne rien faire du tout
  

        Il n'est un secret pour personne que l’Afrique offre des ressources et opportunités pour l’émergence des idée innovantes. Cependant beaucoup de start-ups n’arrivent toujours pas a survivent à la 2e année d’activité. En effet l’insuffisance de financements et le manque d’expertise des jeunes entrepreneurs africains sur le marché local et international menacent la viabilité, à long terme, des projets.

iLabLiberia ( Liberia)

Incub’Ivoir (Côte d’Ivoire)

 

CcHUB (Nigeria)

  Autrefois, le codage était considéré comme un travail destiné aux femmes. Aussi surprenant que cela puisse paraître, avant 1971, le codage était confié aux femmes. En effet, à cette époque, le codage ou la programmation était une tâche de bureau de statut peu élevé. Pour Vogel, le codage était une question de genre puisque de 1971 à 1985, le nombre de femmes dans le secteur de l'informatique a triplé et représentait 38% de la main d’œuvre.

   L'influence des femmes dans l'informatique est tellement manifeste que nous leur devons certaines inventions. En 1843 Ada Lovelace inventait l'algorithme qui a permis de fabriquer la première machine à calcul. Ce fut la naissance du code. Après la seconde guerre mondiale, six femmes concevaient le code du tout premier ordinateur entièrement électronique : l'ENIAC . Il s'agissait de KathleenMcNulty, Jean Bartik, Marlyn Wescoff Meltzer, Frances Bilas, BettySnyder et Ruth Teitelbaum.

En 1984, un décrochage brutal se produit dans la proportion des femmes dans l'informatique. Certains experts du domaine expliquent ce déclic par l’arrivée des micro-ordinateurs sur le marché. Selon Isabelle Collet, à cette époque les publicités ciblaient les hommes et on entendait des phrases du même genre que:“ si vous voulez que votre fils ait un bon métier, faites-lui faire de l’informatique !” 

Plus de 30 ans après, qu’en est-il? Quelle approche avons-nous de cette disparité du genre dans le domaine technologique?

      Pour ma contribution et selon mon expérience dans le domaine, tout part de l’éducation de la jeune fille. L’école, la famille et la société nous font croire que pour réussir dans le domaine technologique, il faut avoir le mental d'un homme (ou mindset masculin). Depuis toujours, la femme dans les tech est décrite comme physiquement peu attrayante et peu féminine. L'image du geek conduit à cette perception erronée de la femme tech. Le geek, ce jeune homme peu sociable nous a été tellement présenté dans les films, romans et séries que lorsqu'une femme ne présente pas cette image, elle a tendance à se voir rejeter. 

Ces préjugés empoisonnent la croissance de l’esprit de la jeune fille. Elle se dit moins apte  à embrasser une carrière tech parce qu'elle craint de finir sa vie devant un écran et de rater ainsi sa vie de femme. Des barrières se créent ainsi chez la jeune fille. Nourrir et promouvoir l’idée qu’il faut penser comme un homme pour réussir dans une carrière technologique étouffe l’esprit féminin.

       Dans certains pays et régions les filles n’ont pas accès

à l’école car résolument destinées à la noble carrière de ménagère. Particulièrement,en Afrique l'on qualifie cette carrière de 'devoir'. Pour ma part, il s'agit d'inégalités d’accès

à l'instruction. 

Hélas! lorsque la jeune fille est scolarisée, elle doit encore faire face au système. Ce système infernal de l'enseignement qui nous égare dans nos pays en voie de développement. Une fois le baccalauréat en poche, les étudiants sont mal informés et pis, mal orientés car les conseillers éducatifs ne jouent pas leur rôle . Vous conviendrez avec moi que si on a un nombre élevé de garçons que de filles dans les classes scientifiques, c’est évident qu’on aura plus d’hommes et moins de femmes dans les carrières technologiques.

 

source: We Need To Ensure That More African Girls Get An Education

       Les jeunes filles recherchent des modèles de femmes pour s’en inspirer, mais ou sont elles? Combien de jeune femmes sont capables de partager des histoires de femmes inspirantes dans le domaine des TICs. Il est très commun d’entendre citer comme modèles, Steve Job,Bill Gates Mark Zukerberg etc. de grands hommes qui ont marqué l’histoire de la technologie. Mais qu’en est-il de ces femmes  connues localement ou  à l’échelle internationales qui depuis années contribuent à l’évolution du domaine informatique? Comment connecter l’esprit de ces femmes à celui de ces jeunes débutantes? Comment promouvoir des exemples de réussites? Des questions que chacun d’entre nous devrait se poser. 

 

       Avouons que les métiers dans le domaine technologique requièrent assez de temps, parfois des heures supplémentaires de travail et plus de ressources physiques et mentales.

De nos jours, il ne s’agit plus du problème de genre mais de qualification car le marché est très compétitif. Les entreprises technologiques recherchent avant tout la compétence. Certaines femmes ne sont pas autant investies dans ce métier que certains hommes. Il est clair que si tu n’as pas la compétence, tu ne seras pas apte à a répondre aux éventuelles offres.

      Parmi ce faible taux de femmes qui ont eu le cran de débuter une carrière technologique, nombreuses sont celles qui font faces à des discriminations, des messages sexistes, et des harcèlements au sein des sociétés technologiques. 

Il est temps de faire tomber les rideaux et dévoiler le noir des entreprises technologiques. Je vous partage quelques résultats d’une enquête faite sur les femmes dans la technologie au sein des entreprises de la silicon valley: The elephant in the valley.

«Nous avons demandé à plus de 200 femmes..... Nos répondants occupent des postes de pouvoir et d'influence: 25% sont des CXO, 11% des fondateurs, 11% des entreprises à risque…nous avons également des employés de grandes entreprises, notamment Apple, Google et VMWare.»

• 47% ont été invitées à effectuer des tâches de niveau inférieur que les collègues masculins ne sont pas invités à faire (par exemple, prendre des notes, commander de la nourriture, etc.)

• 90% ont été témoins de comportements sexistes lors de réunions hors site et / ou de conférences de l'industrie

• 65% des femmes qui déclarent des avances sexuelles non désirées ont reçu des avances d'un supérieur, la moitié en recevant plusieurs fois

• etc...

Ces faits sont réels et se passent autour de nous. D’une manière volontaire ou involontaire, nous faisons tous partie de ces tueurs de carrières des femmes dans les technologies. Il est temps de dire STOP. Tu es une femme, passionnée par la technologie alors souviens toi de ces mots de Marianne Williamsom: ‘Rien ne vous emprisonne excepté vos pensées. Rien ne vous limite excepté vos peurs. Et rien ne vous contrôle excepté vos croyances’.Tu veux voir du changement, alors sors de ta zone de confort et affirme-toi en tant que femme dans la technologie.

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